"On vise 1.500 distributeurs et une gratuité complète à la rentrée", a-t-elle ajouté. Ces protections seront "respectueuses de l'environnement", précise le ministère.
La gratuité des protections périodiques dans l'enseignement supérieur a été décidée après un travail de concertation entre la ministre et différents acteurs (parlementaires, organisations étudiantes représentatives, ou encore l'association Règles Elémentaires).
Selon une étude réalisée par l'Association Fédérative des Etudiants de Poitiers et l'Association Nationale des Etudiants Sages-Femmes en février, un tiers des étudiantes aurait besoin d'aide pour pouvoir acheter des protections périodiques.