Les faits remontent au 8 janvier dernier lorsque la police est appelée dans le restaurant. Un client demande à être remboursé en raison de l'odeur suspecte de la viande.
Les policiers reviennent le 17 janvier, mais cette fois-ci avec des inspecteurs des services vétérinaires. Selon La Montagne, ces derniers décrivent un établissement sale et désordonné.
Ils décident alors de fermer administrativement le kebab jusqu'au 16 février, date à laquelle le commerce est remis à niveau.
Deux amendes à payer
Devant le tribunal, le propriétaire de 55 ans va rejeter la faute plusieurs fois, expliquant qu'il s'agit de l'odeur du curry, puis que son fournisseur garde la viande trop longtemps au frigo avant d'évoquer des problèmes de santé.
Les juges, convaincus de sa responsabilité, le condamnent finalement à une amende de 500 euros. Il écope également d'une amende douanière de 200 euros pour avoir vendu des cigarettes en provenance d'un duty free et sans autorisation administrative.