C'est l'infirmière qui avait préparé la seringue qui s'est rendu compte après seulement trois heures et demi que la dose qui devait s'écouler durant 48 heures était vide. L'appareil qui servait à l'administration du traitement était éteint.
Une enquête pour "meurtre sur ascendant" ouverte
Selon Le Progrès, l'une des filles de la victime a reconnu avoir agi volontairement avec l'accord de son frère et de sa sœur pour mettre fin aux souffrances de sa maman.
Une information judiciaire pour "meurtre sur ascendant" a été ouverte.
Deux enfants de la victime ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire.