SÉLECTIONNEZ VOTRE VILLE

Rhône
  • Lyon
  • Tarare
Loire / Haute-Loire
  • Saint-Étienne
  • Roanne
  • Le-Puy-en-Velay
  • Yssingeaux
Puy de Dôme / Allier
  • Clermont-Ferrand
  • Vichy
Ain / Saône-et-Loire
  • Bourg-en-Bresse
  • Mâcon
  • Valserhône
Ardèche
  • Aubenas
Isère / Savoie
  • Vienne
  • Grenoble
  • Chambery
  • Annecy
Gold Grand Sud
  • Gap
  • Marseille
  • Nice

Cliquer pour télécharger
l'application Radio Scoop

ASSASSINAT DE SAMUEL PATY : AUCUNE INTERPELLATION MENÉE EN HAUTE-LOIRE

Mercredi 9 Décembre - 08:16

Actualité


Samuel Paty, le professeur d'histoire-géographie décapité le 16 octobre 2020 en région parisienne - © DR
La préfecture du département assure qu'aucun des 5 individus interpellés lundi dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du professeur d'histoire-géo, n'a été arrêté en Haute-Loire.


Les suspects, âgés de 18 à 21 ans, sont tous d'origine tchétchène, comme le tueur, ont indiqué des sources proches du dossier. En revanche, aucun d'entre eux n'a été interpellé en Haute-Loire selon la préfecture, contrairement à ce qui était mentionné dans notre article, selon des informations de l'AFP et Aujourd'hui en France.

"Dans plusieurs articles de presse parus hier et aujourd'hui, il est indiqué que cinq hommes, dont certains auraient été interpellés en Haute-Loire, ont été mis en examen dans le cadre de l'assassinat de Samuel Paty le 16 octobre 2020. Il se trouve que ces personnes n'ont pas été interpellées en Haute-Loire", annonce ce mercredi la préfecture du département.

14 personnes poursuivies


Les enquêteurs de la Sous-direction antiterroriste (Sdat), chargés de l'enquête avec la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) les soupçonnent d'avoir échangé par messagerie avec l'assassin de Samuel Paty, tué à la sortie d'un collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) après avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves.

Leurs gardes à vue peuvent durer jusqu'à 96 heures avant leur éventuelle mise en examen dans le cadre de l'instruction ouverte pour "complicité d'assassinat terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste".

Dans ce dossier, 14 personnes font déjà l'objet de poursuites, dont six collégiens. Cinq d'entre eux ont été mis en examen pour "complicité d'assassinat terroriste", accusés d'avoir désigné le professeur de 47 ans à Anzorov.

Brahim Chnina, le parent d'élève à l'origine de la campagne de dénigrement du professeur, et le militant islamiste qui l'avait soutenu, Abdelhakim Sefrioui, sont également poursuivis pour "complicité".