Des brebis devraient aussi faire leur apparition sur les hauteurs de Clermont.
Mais il s'agit aussi de préserver l'existant. Du côté du Stade Marcombes, les plans de rénovation ont par exemple été modifiés pour protéger une espèces d'orchidée rare, et propre à l'Auvergne.
Une ville moins parfaite et plus verte
"Il faut arrêter de croire que l'aménagement le plus facile, c'est le bitume, explique Nicolas Bonnet, l'élu écologiste en charge de l'écologie urbaine à la mairie de Clermont-Ferrand. On peut avoir une ville plus nature, sans se mettre la pression d'avoir un gazon toujours parfaitement coupé à ras".
Et pour cela la municipalité va mettre les habitants à contribution, en instaurant un permis de planter. " On va enlever une bande de béton le long des immeubles, et les habitants pourront y faire des plantations, et les entretenir par la suite", poursuit l'élu.
L'expérience sera d'abord menée aux abords du musée Lecoq, avant, peut-être, d'être étendue à d'autres quartiers de la ville.