13 heures
« Il y a un niveau de retard qui est à proprement parler inacceptable », a déclaré Christophe Béchu, concernant la ligne Paris-Clermont. En compagnie de Jean-Pierre Farandou, le président de la SNCF, le ministre de la Transition écologique a annoncé un plan d'urgence pour améliorer la fiabilité de la ligne.
Parmi les objectifs : éviter les pannes de locomotive, éviter les pannes de signalisation, mieux gérer les aléas extérieurs, mais aussi améliorer le temps d'intervention et la prise en charge des voyageurs en cas de problème.
Les principales annonces
Une locomotive statique sera mise en place à Nevers dès le mois de mars, puis d'une locomotive de protection qui suivra les derniers trains du soir à partir du mois de mai. Ce dispositif inédit permettra notamment de gagner du temps pour intervenir en cas de problème.
Au total, ce sont une dizaine de locomotives supplémentaires qui seront déployées entre mars et mai, pour un coût estimé à 10 millions d'euros.
Un plan de protection des voies sera mis en place sur toute la ligne (le même que pour les TGV), avec la pose de grillages sur 20 kilomètres considérés comme critiques.
Christophe Béchu a également annoncé 20 mesures de gestion de crise, pour mieux gérer les imprévus.
11 heures
Une réunion entre la SNCF, les élus et les ministres de la Transition écologique et des Transports se tient au sujet des problèmes récurrents de la ligne Intercités Paris-Clermont, encore 1h30 de retard ce jeudi à cause des conséquences de la tempête Louis.
Le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, est sur place pour présenter un plan d'action précis.
10 heures
Après l'inauguration d'une borne électrique à Culhat, les membres du gouvernement avaient rendez-vous dans la matinée en préfecture à Clermont-Ferrand pour un entretien avec les représentants locaux de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs.
