Le vote a finalement pu avoir lieu, avec une passe d'armes comme prévu entre la majorité et l'opposition, composée notamment des frondeurs qui ont quitté le camp de Marc Petit, après ses deux condamnations pour agression sexuelle.
Bilan : 16 voix partout, avant le vote d'un élu d'extrême droite, Jean-Paul Valour, qui a validé ce budget de la majorité, ce qui a provoqué la colère de l'opposition.
Séance interrompue
La séance a été interrompue, plusieurs membres ayant tout simplement quitté la salle.
Parmi eux, Laurence Juban. Selon cette ancienne alliée du maire sortant, Marc Petit aura, je cite, "sali notre commune jusqu'à la lie".
La séance a pu reprendre et aller à son terme. Toutes les autres délibérations ont pu être votées, notamment les subventions allouées aux associations.
Marc Petit est candidat à sa propre succession aux municipales le 15 mars prochain.
Il sera face à Anne-Sophie Putot, soutenue par les socialistes, les communistes et la France Insoumise, et deux listes sans étiquette, menées d'un côté par Julien Luya, de l'autre par Christian Bourbon.