"Il y a des gens qui descendent sur les voies sans se rendre compte du danger, d'autres qui se bousculent sur les quais ou qui évaluent mal les distances de freinage. Ensuite, il y a le problème de fraude. Evidemment, lorsque les équipes de prévention sont présentes, les incivilités et la fraude disparaissent, donc on mènera ce genre d'actions à raison d'une journée toutes les trois semaines environ", explique Pascal Jacquesson, directeur général de Kéolis.
La fraude représente un manque à gagner d'environ 11 millions d'euros par an pour les TCL, et 20 millions d'euros par an pour les TER en région Auvergne-Rhône-Alpes.