Les diagnostics se poursuivent, mais trois zones critiques ont d'ores et déjà été identifiées, notamment le viaduc de Voron, déjà touché par un éboulement quelques jours plus tôt, à L'Horme, et le talus du Gier, à la frontière entre la Loire et le Rhône.
Près de 100 personnes sont mobilisées sept jours sur sept pour débroussailler les zones impactées et permettre d'accéder au plus près de la voie, des ouvrages d'arts et des ouvrages en terres.
"Vers Givors, il est encore difficile de circuler sur les routes, l'autoroute est réduite et les chaussées ne sont pas toutes dégagées. Les accès aux zones ferroviaires sont donc encore compliqués", précise la SNCF.
Vers une réouverture partielle ?
Le délai de trois semaines dépendra des conditions météorologiques et des diagnostics en cours. SNCF Réseau pourrait envisager une réouverture partielle sur une seule voie, si elle est techniquement possible, et promet des mises à jour régulières pour les usagers.
En attendant, des cars de substitution sont mis en place aux heures de pointe pour assurer la liaison directe entre Saint-Étienne et Givors. Le trafic a ensuite repris sur les rails, ce lundi 21 octobre, entre Givors et Lyon.