Les tags ont été écrits dans la nuit du samedi 11 au dimanche 12 janvier.
Dans une publication sur les réseaux sociaux, l'élu s'est dit "très choqué". "Ces messages de haine sont une atteinte aux principes de solidarité et de tolérance qui forgent notre pacte républicain. Je vous annonce porter plainte. Ne banalisons pas cette violence : elle est une réelle menace pour notre unité" a réagi le maire de Lyon.
Dans la foulée, l'élu a reçu le soutien de plusieurs personnalités politiques lyonnaises, comme Sandrine Runel, la députée socialiste de la 4e circonscription du Rhône, ou la députée LFI Anaïs Belouassa Cherifi.