Les deux s'étaient d'ailleurs constitués parties civiles dans cette affaire.
Le mis en cause utilisait des adresses IP d'autres pays pour passer incognito, mais il avait renseigné son profil Facebook avec son vrai numéro de téléphone, ce qui a permis de l'identifier.
Il a admis des termes "un peu fort" à l'encontre des deux hommes, mais il a réfuté les menaces de mort.
Il a aussi été condamné à verser un euro symbolique à Grégory Doucet et Mohamed Chihi.