Les trois groupes "Saint-Étienne Demain", "Communiste" et "Le Temps de l'écologie" précisent que le premier édile peut être suspendu par arrêté ministériel motivé pour une durée qui n'excède pas un mois. "La mise en retrait du maire semble [...] nécessaire", écrivent notamment les groupes d'opposition dans leur courrier adressé à la Première ministre.
Un sujet déjà abordé en conseil municipal
L'opposition souhaite à ce que Gaël Perdriau soit entendu par le gouvernement, et ce, afin de pouvoir déterminer si les faits incriminés dans cette affaire de chantage sont de nature à le priver de ses fonctions.
Les élus de l'opposition avaient déjà demandé, lors du conseil municipal du 26 septembre dernier, un vote à bulletin secret pour adresser ce vœu à Elisabeth Borne. Le maire de Saint-Étienne avait refusé de soumettre ce vœu au vote, sous les huées de l'opposition.
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