Fruit d'une injustice ?
Nous le savons tous, après la mise en place d'un troisième confinement en France, les commerces jugés “non essentiels" ont dû arrêter d'exercer leurs activités professionnelles. Ainsi, les magasins de sous-vêtements ne peuvent continuer à vendre leurs produits. Cependant, les supermarchés jugés bien évidemment essentiels ont, quant à eux, le droit de vendre des culottes, soutiens-gorges et autres. Les commerçants disent non et crient à l'injustice !
Action culottée
Après cette annonce, une centaine de détaillantes de lingeries françaises ont donc créé un collectif : “Action culottée” pour dénoncer cette injustice. Elles ont eu la brillante idée de lancer une opération coup de poing : envoyer de jolies petites culottes au Premier ministre. Une action qui n'est pas passée inaperçue.
Ce collectif rappelle sur la plateforme TikTok, que le virus ne se transmet pas plus dans un petit commerce que dans un supermarché et que si elles ne peuvent vendre leurs produits, les grandes surfaces ne devraient pas non plus.
Pour l'instant, le gouvernement estime la réouverture des commerces courant mai. En tout cas, on espère que cette “action culottée” fera bouger les choses et que ces petites culottes ont plu au Premier Ministre.
