Un accord de principe a été trouvé sur le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), qui menace 1.300 à 3.200 postes.
La nouvelle direction du groupe stéphanois et les salariés sont notamment tombés d'accord sur la prime supra-légale (indemnité versée au salarié, supérieure à celle qui est exigée par la loi) et les congés de reclassement.
La direction a indiqué qu'elle espérait terminer les négociations d'ici à la fin juillet.