En réalité, il s'agissait du festival de black metal néonazi interdit dans cinq départements de la région, dont le Rhône et… l'Isère.
Malgré l'interdiction, l'événement a eu lieu
La nouvelle du concert a été apprise en fin d'après-midi par les autorités, la gendarmerie a alors déployé des contrôles autour du village.
L'organisation du festival a refusé d'annuler, malgré le rappel de l'arrêté d'interdiction par les forces de l'ordre.
La date n'a pas été choisie au hasard : le 24 février correspond à la date de la création du parti national-socialiste par Adolf Hitler.
Les personnes ayant organisé ce concert "proche de l'idéologie néonazie" risquent jusqu'à six mois d'emprisonnement et 7.500 euros d'amende.