SÉLECTIONNEZ VOTRE VILLE

Rhône
  • Lyon
  • Tarare
Loire / Haute-Loire
  • Saint-Étienne
  • Roanne
  • Le-Puy-en-Velay
  • Yssingeaux
Puy de Dôme / Allier
  • Clermont-Ferrand
  • Vichy
Ain / Saône-et-Loire
  • Bourg-en-Bresse
  • Mâcon
  • Valserhône
Ardèche
  • Aubenas
Isère / Savoie
  • Vienne
  • Grenoble
  • Chambery
  • Annecy
Gold Grand Sud
  • Gap
  • Marseille
  • Nice

Cliquer pour télécharger
l'application Radio Scoop

LE MAIRE DE CLERMONT PORTE PLAINTE APRÈS LA PUBLICATION D'UNE VIDÉO "VIOLENTE"

Jeudi 21 Novembre - 18:20

Politique


Olivier Bianchi, le maire de Clermont-Ferrand. - © Twitter Olivier Bianchi
Olivier Bianchi, maire de Clermont-Ferrand, a déposé plainte après la diffusion d'une vidéo qu'il qualifie de "violente" à son encontre et envers d'autres élus locaux.


Dans la vidéo, générée par une intelligence artificielle, on peut voir le visage du maire de Clermont-Ferrand ainsi que celui de deux de ses adjoints, Cyril Cineux et Thomas Weibel, écrasés, alors que le visage du député écologiste du Puy-de-Dôme Nicolas Bonnet est découpé avec une lame.

Olivier Bianchi, maire de Clermont-Ferrand, a déposé plainte après la diffusion d'une vidéo qu'il juge "violente" à son égard et envers d'autres élus locaux.

Cette vidéo, partagée sur X (anciennement Twitter), a été réalisé par un modérateur de la page Facebook "Saccage Clermont".

"Je considère qu'on a passé une ligne rouge"


L'édile avait fait un signalement lundi dernier au procureur de la République. Les autres élus visés par la vidéo ont également porté plainte.

Une enquête a été ouverte suite au signalement adressé au parquet pour déterminer les auteurs de cette vidéo et évaluer les risques encourus par les élus concernés.

"J'ai longtemps laissé passer des messages haineux et insultants, mais aujourd'hui mes adjoints sont aussi visés et je considère qu'on a passé une ligne rouge et je dis stop", affirme Olivier Bianchi dans un communiqué.

Le député Nicolas Bonnet, aussi visé par la vidéo, estime pour sa part que cette vidéo et ses images virtuelles incitent "à des violences physiques, elles ne doivent pas être banalisées".