La famille de Céline, enceinte au moment du décès, voulait démontrer qu'elle avait des signes cardiaques qui n'avaient pas été décelés par le SAMU 42.
"On veut continuer le combat
"En raison notamment de la multiplicité des symptômes évoqués (bouffées de chaleur, vertige, difficultés respiratoires...) [...] pouvaient orienter très majoritairement le diagnostic vers des hypothèses non cardiaque" peut-on lire sur le rapport.
"Il n'était pas possible, à l'écoute des bandes audios enregistrées, de diagnostiquer un infarctus du myocarde en cours de constitution ou bien l'existence d'un péril imminent", concluent les experts.
"Ce n'est pas la fin. On veut continuer le combat", confie Jason Nicolas, le frère de la défunte. La famille va se renseigner sur les recours possibles.






