Selon Le Progrès, le procureur de la République soupçonne les deux établissements de soins de ne pas avoir signalé rapidement des faits délictueux.
Une agression sexuelle signalée trop tard ?
Le foyer de vie Roche-Féline aurait ainsi tardé à signaler l'agression sexuelle d'une résidente par un autre. Le suspect a d'ailleurs été jugé le 21 mars dernier. Le tribunal a requis à deux ans de prison, dont 18 mois avec sursis (verdict le 4 avril).
Pour l'Ehpad du Cloître, l'établissement est suspecté de ne pas avoir signalé le décès suspect d'une femme de 90 ans six mois après. Une infirmière aurait modifié le traitement de la nonagénaire, ce qui aurait pu provoquer le décès.
L'enquête a été confiée à la gendarmerie.