La dissolution du mouvement d'ultradroite Bastion social, accusé d'appeler à la haine, aux discriminations et aux actions violentes, a été prononcée mercredi en Conseil des ministres, a annoncé le ministère de l'Intérieur.
Le président Emmanuel Macron s'était engagé fin février à la dissolution de ce groupuscule identitaire,
né à Lyon en 2017.
Cette décision a été prise
"pour mettre fin aux exactions répétées commises" en marge de rassemblements de voie publique, a précisé le ministère dans un communiqué.
(Avec AFP)