Selon la préfecture, la présence d'un loup solitaire a bien été confirmée. Pour le moment, cet acte de prédation isolé ne permet pas de considérer la Loire comme une "zone de présence permanente de l'espèce", précise le communiqué.
Jusqu'à aujourd'hui, plusieurs signalements de loups avaient été faits dans la Loire, mais ils avaient à chaque fois été démentis par les expertises réalisées sur le terrain.
Le préfet va réunir à la fin du mois un "comité départemental loup" qui rassemblera tous les acteurs impactés par l'arrivée de l'animal (services départementaux et régionaux de l'État, louveterie départementale, représentants des intérêts agricoles, forestiers, cynégétiques, et environnementaux, association des maires, conseil départemental). C'est cette assemblée qui pourra suivre l'évolution de la situation et prendre les différentes mesures nécessaires pour protéger les élevages et les troupeaux.






