Malgré les contraintes techniques, le sol minier et ce terrain en pente [16 mètres de dénivelés entre le bas et le haut du chantier, NDLR], le projet est bien avancé. "Tous les bâtiments sont sortis de terre. Ils ceinturent en quelque sorte le site, en forme de "U". On peut même voir la résille qui a été installée sur le grand bâtiment à côté de la rocade", explique Stéphan Lett, directeur général adjoint des opérations chez APSYS, le promoteur.
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La résille, c'est le petit plus du projet. La sur-toiture qui recouvre les bâtiments. Elle est en aluminium, reflète l'environnement et scintille au soleil. "La mantille qui va recouvrir le bâtiment de 30.000 m2[/i, (celui qui est le plus proche de l'A72), c'est comme une peau poétique, ajourée. Et les grandes émergences font échos à la sky-line de Saint-Étienne, aux montages, aux crassiers. Elle culminera à plus de 40 mètres. Ce sera vraiment un phare urbain à l'entrée de ville", commente Joran Briand, l'architecte-designer.
Pour la dernière ligne droite, c'est toute la partie centrale qui va être aménagée. L'espace paysager notamment où 1400 arbres seront plantés au cœur du projet STEEL. Côté commercialisation, APSYS révèle que 90% des parcelles ont trouvé preneur.