Selon Le JSL, l'avocat général a demandé la confirmation de la première sentence. Pour lui, Pascal Jardin n'a exprimé aucun regret, aucune excuse, "ce n'est une série de mensonges, qui sont autant de coups de couteau assénés sur la mère de Christelle et ses proches ici présents."
La défense, elle, a demandé à ce que le doute profite à l'accusé. Dans sa plaidoierie, l'avocat de pascal Jardin a démonté les mécanismes de l'enquête, les aveux forcés, "la fourberie des inspecteurs", le mauvais travail des premiers avocats de la défense, ,et a remis en cause les analyses des experts psychiatres.
123 coups de couteau
Le corps de la jeune femme de 20 ans, lardé de 123 coups de couteau, avait été retrouvé le 28 décembre 1996 au bord d'une route de campagne à Blanzy, en Saône-et-Loire. Pascal jardin avait été interpellé 18 ans après, grâce à des traces ADN retrouvées sur les vêtements de la victime.
Après avoir reconnu les faits devant les enquêteurs, il s'est rétracté et nie depuis être l'auteur du meurtre.






