Mardi 10 décembre, à Roanne, un mari et sa femme ont été condamnés plusieurs mois après un contrôle d'alcoolémie de gendarmerie à Saint-Just-en-Chevalet (Loire).
Ivre au volant malgré un dispositif antidémarrage
Le 4 mai 2024, vers 16h30, le couple est contrôlé par les militaires. Ces derniers remarquent que le véhicule possède un dispositif d'éthylotest antidémarrage.
Pourtant, l'homme au volant est alcoolisé : un taux de 1,4 g/l de sang est relevé (supérieur à la limite de 0,5 g/l).
Comme le rapporte Le Progrès, sa compagne à côté affirme avoir d'abord pris le volant, avant de le laisser à son mari à cause d'une douleur au genou. De son côté, l'homme explique ignorer qu'il était ivre.
Le couple venait de célébrer l'obtention du permis moto par l'homme. Il venait de le repasser, car son permis avait été annulé en 2022 pour… conduite en état d'ivresse.
La femme a été condamnée à 300 euros d'amende. Son mari a écopé d'une peine de 18 mois de prison, dont 10 avec sursis probatoire renforcé, mais aussi une obligation de soins et de conserver un dispositif antidémarrage pendant trois ans.
Son permis a également été annulé.