C'est ce que pense Caroline Cuer notamment.
La gérante de "Tendances et Paillettes", située jusque-là rue de la Treille, a dû fermer définitivement les portes de son magasin et met en cause directement la commission d'indemnisation : à une rue près, elle n'a pu bénéficier de l'indemnisation qui aurait pu sauver son activité.
"Il faut bien des règles, c'est de l'argent public"
Face à cette critique, Clermont Auvergne Métropole a réagi par la voix d'un de ses vice-présidents, Cyril Cineux.