Également à la tête de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), il dit vouloir "réconcilier la France et l'entreprise".
Élection le 3 juillet 2018
"Nous sommes face à un paradoxe : les Français aiment leurs entreprises, la leur et celles proches de chez eux. En revanche, ils rejettent la figure de l'entreprise et doutent des intentions du patronat. Il y a là un défi à relever", confie-t-il dans un texte transmis à la presse.
"Oui, le dialogue social peut et doit être un véritable outil au service de la compétitivité des entreprises. Mais il y a des conditions à cela", ajoute-t-il. "Oui au compromis, non aux compromissions. Je suis par ailleurs persuadé qu'un dialogue social moderne suppose de la souplesse et que les bonnes solutions sont celles qui sont trouvées au plus près du terrain".
Pour mener à bien sa campagne, Alexandre Saubot a d'ailleurs décidé de quitter l'ensemble de ses mandats patronaux, à savoir "la vice-présidence du Medef depuis hier (samedi, ndlr) comme la présidence de l'UIMM à l'échéance de mon mandat en avril prochain".
"Je veux défendre mon projet en homme libre de sa parole", martèle-t-il.
L'élection aura lieu le 3 juillet prochain.






