Un club inclusif… mais sans terrain
Créée en 2017, l'équipe attire des joueurs de toute la région et même d'Italie. Pourtant, elle ne peut toujours pas organiser de match à domicile. Pour s'entraîner, les 30 licenciés alternent entre un gymnase qui n'est pas aux normes et un terrain extérieur, loin des conditions idéales pour ce sport inclusif.
Théo Liffaud, secrétaire et joueur au club, lance un appel :
"Que ça soit la ville de Clermont-Ferrand, la métropole ou une petite commune autour de Clermont, c'est une superbe opportunité d'avoir un vrai espace d'inclusion. C'est un terrain de cécifoot, mais ça va au-delà : ça permet des pratiques libres, ça permet d'avoir un espace qui met en avant le handisport et la diversité. En termes de contraintes, aujourd'hui, ce n'est pas grand-chose, parce qu'on est en capacité, avec des appuis fédéraux et des financements, d'avoir des barrières et des buts. Ce qui nous manque, c'est juste un espace synthétique où avoir cette possibilité de poser les barrières. J'espère qu'on va avoir des retours positifs dans les prochaines semaines !"
La saison des Clermont Jokers continue malgré les obstacles
En attendant, les Clermont Jokers poursuivent leur saison. Leur prochaine journée de championnat se déroulera en région parisienne le 18 janvier, avec des matchs contre le RC Lens et Saint-Mandé.
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