Le top
Anthony Lopes. Titulaire surprise, suite à la blessure au dos de Ciprian Tatarusanu lors de l'entraînement de veille de match, le gardien lyonnais n'a pas semblé perturber. Au contraire. S'il gardait un mauvais souvenir de la finale 2014, aussi bien sur le plan individuel que collectif, l'international portugais a parfaitement dévié une lourde frappe de Gana Gueye en première période, puis un coup-franc bien placé ainsi qu'une tête de Neymar en seconde période. Il se détend encore sur la frappe de Di Maria en prolongation. Solide, comme très souvent.
Le flop
Moussa Dembélé. Attendu comme le point d'appui qui devait permettre à toute l'équipe de remonter, l'avant-centre lyonnais a affiché beaucoup de lacunes techniques. Sa puissance et son goût du combat n'ont pas masqué son déchet, notamment sur un centre en retrait de Léo Dubois sur lequel il rate le ballon.
Le fait du match
La chaleur. Avec 32° au coup d'envoi et aucun match officiel depuis cinq mois pour l'OL (un seul pour Paris, la semaine dernière), l'aspect athlétique allait forcément être une donnée importante de cette finale. Sans surprise, le rythme a été assez lent et les accélérations assez rares.
Globalement, l'OL a donc plutôt bien résisté durant les deux heures de match (temps réglementaire + prolongation), sans être capable d'apporter réellement le danger dans la surface parisienne. Même après les tirs au but, cette défaite apparaît donc logique.
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